Savoir-faire inspiré et parisianisme assumé font d’Adèle & Jules un repaire capital idéal. Là d’où partir à la rencontre d’un quartier en belle évolution, hier populaire et affairiste, aujourd’hui cœur battant et réjouissant de la nouvelle bistronomie française. Dans un quartier cosmopolite et propice aux flâneries, l'Opéra Garnier comme les Grands Magasins se rejoignent allègrement à pied.
Entre théâtres, joyeuses terrasses et passages couverts, c’est une plongée dans un patrimoine en pleine effervescence.
L'expérience parisienne est ici à portée de contemplation
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Tarifs à partir de 420€ (de 1 à 6 personnes).
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Savoir-faire inspiré et parisianisme assumé font d’Adèle et Jules un repaire capital idéal
L'actualité culturelle à Paris, et dans le quartier des grands Boulevards
La Galerie Dior, qui témoigne de l’audace visionnaire de Christian Dior et de ses six successeurs : Yves Saint Laurent, Marc Bohan, Gianfranco Ferré, John Galliano, Raf Simons et Maria Grazia Chiuri.
L'exposition revient sur l'influence entre le monde de l'art et la création contemporaine dans l'univers de la mode, à l'aune de l'histoire des styles décoratifs, des métiers d'art et de l'ornement. Au fil des galeries et des salles du département des Objets d'art, 65 silhouettes contemporaines, accompagnées d'une trentaine d'accessoires, seront déployées en un dialogue historique et poétique avec les chefs-d'oeuvre du département, de Byzance au Second Empire.
Le parcours propose une autre manière de regarder les objets d'art au prisme du regard des créateurs contemporains. Il souligne des rapprochements avérés entre ses collections du département des Objets d'artet des pièces de mode. Au regard de l'histoire de l'art et de la mode, les complicités épousent souvent des méthodes communes, une connaissance des techniques les plus anciennes, une culture visuelle et un jeu références.
Ce printemps, la Galerie MR8, située dans le Marais à Paris, consacre une exposition de photos à l'icône David Bowie. Décédé le 10 janvier 2016, l’artiste britannique continue encore aujourd’hui de nous hanter, de nous fasciner et d’influencer la pop culture.
À Londres, de l’autre côté de La Manche, un centre dédié au chanteur doit ouvrir ses portes au mois de septembre 2025. Les visiteurs pourront notamment y découvrir, de façon permanente, plus de 90 000 objets liés à David Bowie. À Paris, les fans de l’artiste britannique ne sont pas en reste. Car une exposition dédiée au caméléon va s’installer dans une galerie parisienne, nichée dans le Marais, du samedi 22 mars au dimanche 22 juin 2025.
Intitulée « David Bowie, Mr Jones’ Long Hair », et présentée en avant-première à Paris, cette exposition rassemblera une centaine de photographies (jamais vues pour certaines d'entre elles), autour de la mode, du cinéma, de la littérature, de la musique, du théâtre et de la peinture.
Du Maghreb au Japon, en passant par les pays du Moyen-Orient, l’Inde et la Chine, l’exposition retrace l’histoire millénaire de l’or dans les arts textiles. Dès le cinquième millénaire avant notre ère, l’or agrémente les premières étoffes de luxe. Au cours des siècles suivants, des tisserands et artisans chevronnés déploient des techniques ingénieuses pour réaliser de véritables tissus d’art où les fibres de soie ou de lin s’entrelacent aux lames et filés d'or, mêlant création artistique, savoir-faire traditionnels et inventions techniques.
Des premiers ornements cousus sur les vêtements des défunts aux robes flamboyantes de la créatrice de mode chinoise Guo Pei, des caftans brochés d’or du Maghreb et d’Orient et des soieries des mondes indien et indonésien aux kimonos scintillants de l’ère Edo, l’exposition propose une traversée au fil de l’or en deux sections historiques et techniques et cinq sections correspondant à cinq grandes aires géographiques et culturelles.
Co-fondateur du cubisme, et considéré comme le père de l’art moderne, Pablo Picasso dédia son travail à interroger la perception de la réalité, remettant en question tous les canons artistiques de son époque et bousculant les codes académiques qu’il maîtrisait à la perfection. Cette rétrospective projetée sur les murs de l’Atelier des Lumières, invite à observer les diverses techniques que l’artiste s’est amusé à explorer : la gravure, la sculpture, les papiers-collés, les assemblages, les pliages ou la céramique.
Cette exposition rend hommage à l’artiste romaine Artemisia Gentileschi (1593 - vers 1656). Personnalité au destin hors norme, cette protagoniste de la peinture caravagesque est l’une des rares artistes femmes de l’époque moderne ayant connu de son vivant une gloire internationale et qui put vivre de sa peinture. À travers une quarantaine de tableaux, cette exposition met en valeur le rôle de la peintre dans l’histoire de l’art du XVIIe siècle.
Sa formation initiale avec son père artiste Orazio, ainsi que l’impact fort de Caravage, seront mis en exergue dans l’exposition. Si son travail est difficilemment séparable de celle de son destin ( elle sera victime dans sa jeunesse fut d'un viol et subira la violence mysogine du procès qui en découlera), son œuvre - reflet de son vécu et sa résilience - en demeure pour autant universelle. La peintre puisera son inspiration dans les thèmes bibliques et littéraires pour mettre en avant l’héroïsme au féminin, qu’elle représente avec une rare empathie. Une partie importante de l’exposition sera ainsi consacrée au duel symbolique d’Eros et Thanatos, crucial dans l’art et la culture du baroque.
La Fondation Louis Vuitton invite David Hockney, l’un des artistes les plus influents des XXᵉ et XXIᵉ siècles, à investir l’ensemble de ses espaces d’exposition. Cette présentation de plus de 400 œuvres de 1955 à 2025 rassemble, outre un fonds majeur provenant de l’atelier de l’artiste et de sa fondation, des prêts de collections internationales, institutionnelles ou privées. L'artiste a voulu suivre personnellement la conception de chaque séquence et de chaque salle, dans un dialogue continu avec son assistant Jonathan Wilkinson.
L’exposition réunit des créations réalisées avec les techniques les plus variées – des peintures à l’huile ou à l’acrylique, des dessins à l’encre, au crayon et au fusain, mais aussi des œuvres numériques et des installations vidéo. David Hockney s’est totalement impliqué dans la réalisation de cette exposition. Il a lui-même choisi, en collaboration avec son compagnon et studio manager, Jean-Pierre Gonçalves de Lima, de centrer l’exposition sur les 25 dernières années de son œuvre sans omettre les œuvres « mythiques » de ses débuts, proposant ainsi une immersion dans son univers, couvrant sept décennies de création.
Disney100 : L’Exposition est une invitation à explorer un siècle d’histoires et de création. Avec ses neuf galeries immersives, cette expérience unique lève le voile sur certaines des histoires les plus appréciées de Disney – des classiques tels que Blanche-Neige et les Sept Nains (1937) et Peter Pan (1953) aux titres plus récents comme Ratatouille (2007) et Encanto, La Fantastique Famille Madrigal (2021). Les fans pourront également célébrer leurs récits préférés issus des univers Pixar, Star Wars et Marvel.
Depuis près de 55 ans, Walt Disney Archives préserve avec soin certains des objets les plus précieux de The Walt Disney Company. À Paris, plus de 250 pièces seront exposées, dont des œuvres d’art, des sculptures utilisées pour l’animation, ainsi que des costumes et des accessoires. Cela inclut le Cheval du Carrousel de Mary Poppins (1964), utilisé par la Disney Legend Julie Andrews, ainsi que la robe rouge de Cruella (2021), portée par Emma Stone.
Cette exposition est la première consacrée à l’œuvre du cinéaste Wes Anderson. Elle suit l’évolution de son travail, depuis ses premiers pas dans les années 1990 jusqu’à son film le plus récent Asteroid City (2023). Le parcours met en lumière les spécificités esthétiques de l’ensemble de sa filmographie, dévoile ses inspirations, ses hommages, et le travail artisanal méticuleux qui caractérise la mise en scène du réalisateur.
La première grande exposition au monde consacrée à l'œuvre de Wes Anderson. À travers une sélection abondante d'accessoires, de costumes originaux, d'extraits et de documents, essentiellement issus de sa collection personnelle, cette exposition offre un regard sur l'univers du cinéaste, ses inspirations, la méticulosité de son art et sa constante innovation. La célébration d'un cinéaste unique et de son influence durable sur le cinéma contemporain.
Rassemblant plus de 110 œuvres (peintures, dessins, gravures, sculptures, céramique), l'exposition propose de montrer le regard d’artiste et de père que Matisse porta sur sa fille ainée, Marguerite Duthuit-Matisse (1894-1982), figure essentielle mais discrète de son cercle familial. Organisée de manière chronologique, l’exposition témoigne de la force du lien qui unissait l’artiste et sa fille et permet d’appréhender la confiance et le respect qu’ils se vouaient mutuellement. Elle est aussi l’occasion de découvrir le destin fascinant d’une femme hors du commun, qui joua un rôle de premier plan dans la carrière de son père.
Depuis les premières images de l’enfance jusqu’à la fin de la Seconde Guerre mondiale, Marguerite, la fille de Matisse, demeure le modèle le plus constant de son œuvre. L’exposition présente de nombreux dessins rarement sinon jamais montrés au public, ainsi que d’importants tableaux venus de collections américaines, suisses et japonaises exposés en France pour la première fois. Des photographies, documents d’archives et œuvres peintes par Marguerite elle-même complètent l’évocation de cette personnalité méconnue du grand public.
L’exposition révèle l’importance de Paris dans l'œuvre foisonnante de la réalisatrice qui fit dialoguer documentaire et fiction. Elle revient notamment sur l’œuvre encore méconnue de la photographe en regard de celle de la cinéaste, à travers un ensemble de 130 tirages sur la cour-atelier de la rue Daguerre (Paris 14e) et surtout sur la façon dont la caméra d’Agnès Varda explorait la ville et ses détails.
Fruit d’un travail de recherche de plus de deux ans, l’exposition s’appuie essentiellement sur le fonds photographique d’Agnès Varda et les archives de Ciné-Tamaris. Elle met en regard l’œuvre de la photographe avec celle de la cinéaste à travers un ensemble de 130 tirages, dont de nombreux inédits, et des extraits de films entièrement ou en partie tournés à Paris. Elle présente également des publications, des documents, des objets ayant appartenu à l’artiste, des affiches et des photographies de tournage.
L’exposition fait dialoguer les œuvres de Fernand Léger (1881-1955), pionnier de l’art moderne, avec plus d’une trentaine d’œuvres d’artistes issus des avant-gardes européennes et américaines des années 1960 à nos jours. Le parcours est l’opportunité de mettre en avant le lien historique et artistique fort existant entre l’œuvre de Fernand Léger et la génération qui lui a immédiatement succédé : celle des Nouveaux Réalistes. Mouvement lancé en 1960 par le critique d’art Pierre Restany, il regroupa des artistes tels que Arman, Yves Klein, Martial Raysse, Daniel Spoerri ou Niki de Saint Phalle.
Cette exposition vise à illustrer la modernité et la pluridisciplinarité de l’œuvre de Fernand Léger en faisant dialoguer son travail avec celui d'autres artistes des années 1960 à nos jours. Si le rapport à l’objet occupe une place centrale, le parcours aborde également d’autres thématiques dont la représentation de la société de loisirs, de l’art dans l’espace public ou encore celle des processus créatifs. L'exposition a été imaginée essentiellement à partir des collections du Musée national Fernand Léger à Biot et de celles du Musée d’Art Moderne et d’Art contemporain de Nice.
Le Musée d’Art Moderne de Paris présente la première rétrospective en France consacrée à l’artiste allemande Gabriele Münter (1877-1962). Co-fondatrice du cercle munichois du Cavalier Bleu (Blaue Reiter), Gabriele Münter compte parmi les femmes artistes les plus éminentes de l’expressionnisme allemand. Dans un monde artistique dominé par les hommes, elle a su créer une œuvre extrêmement personnelle et diverse qui s’étend sur six décennies.
Si son nom reste souvent associé à celui de Kandinsky qui fut son compagnon durant ses années munichoises (1903-1914), Gabriele Münter n’a jamais cessé de se renouveler, avec une étonnante modernité, maitrisant un grand nombre de techniques et laissant une œuvre foisonnante.
À travers une sélection d’environ 170 œuvres de différentes techniques (peinture, gravure, photographie, broderie, etc), cette exposition inédite en France a pour ambition de proposer un parcours chronologique détaillé de l’œuvre de Gabriele Münter, représentant plus de 60 années de son œuvre et de son importance pour l'histoire de l'Art du XXème siècle.
À travers un ensemble exceptionnel de près de 230 œuvres, « L’art est dans la rue » interroge l’essor spectaculaire de l’affiche illustrée à Paris, dans la seconde moitié du XIXe siècle. Co-organisée en partenariat avec la Bibliothèque nationale de France, l’exposition constitue une première à cette échelle. En effet, à Paris, aucune manifestation d’envergure n’a encore été consacrée à ce phénomène de société et réuni autant de réalisations marquantes des « Maîtres de l’affiche ». Bonnard, Chéret, Grasset, Mucha, Steinlen, Toulouse-Lautrec… Conçu comme une plongée saisissante dans l’univers visuel de la ville du XIXe siècle, le parcours retrace l’âge d’or de l’affiche artistique en analysant les mutations sociales et culturelles qui ont favorisé son développement, dialoguant avec un ensemble unique d’affiches, peintures, photographies, costumes, sculptures et objets d’art décoratif qui évoquent l’univers effervescent de la rue au tournant du siècle.
Construit en pleine Guerre froide, le Mur de Berlin incarne la division entre le capitalisme et le communisme, un affrontement idéologique ayant plongé le monde dans une menace nucléaire constante.
À travers plus de 200 artefacts authentiques, cette exposition unique retrace son histoire et souligne l’importance de défendre les droits humains, la liberté et la démocratie. La collection de plus de 200 objets originaux provient de plus de 20 institutions internationales, telles que la Fondation du Mur de Berlin, le Musée des Alliés et le Musée de la Paix d’Hiroshima. Parmi les pièces les plus remarquables, on trouve des fragments du Mur et des objets personnels que les habitants de Berlin utilisaient pour le contrebande ou la communication à travers le Mur, témoignant des conséquences directes des deux systèmes opposés. Le visiteur pourra également découvrir des objets reflétant la dimension mondiale du conflit, comme ceux utilisés pour la propagande, l’espionnage, et la guerre nucléaire. Ces pièces retracent les mouvements sociaux et les événements qui ont conduit à la chute du Mur de Berlin et à la fin de la Guerre froide.
L'exposition présente plus de 350 photographies choisies pour une promenade à travers l'œuvre complexe d’un artiste si souvent simplifié qui reprendra ici toute sa dimension poétique et profondément humaine. Témoignant de son époque des années 1930 aux années 1980, Robert Doisneau a photographié l’enfance, sa banlieue parisienne, les ateliers d’artistes peintres et sculpteurs rencontrant au passage l’œuvre de Maillol, la mode et le luxe d’après-guerre tout en dressant le constat social d’un monde sans indulgence dont il se sentit toujours solidaire.
L’exposition offre une véritable rencontre avec le photographe dans son foisonnant univers de travail. Au cours du parcours se dévoilent des objets et documents personnels du photographe, ainsi que des interactifs et audiovisuels. On y découvrira également son œuvre publicitaire, souvent drôle et si peu connue.
Nos bonnes adresses
9, Rue Cadet 75009 Paris
57, passage des Panoramas 75002 Paris
2, rue Richer 75009 Paris
9, Rue Cadet, 75009 Paris, France
13 rue Rougemont 75009 PARIS
8 passage des Panoramas, 75002 Paris
3 rue de la Grange Batelière, 75009 paris
51 rue Faubourg st Denis, 75010 Paris
39 rue des Jeuneurs, 75002 Paris
11, rue d'Enghien, 75009 Paris
10, rue Rougemont, 75009 Paris
2, rue Richer, 75009 Paris
21 Rue de Trévise, 75009 Paris
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